Dernière cotation

25 Avril 2024
Base 56 TMP
2,031 € (0 €)
> Détails du marché
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Nombre porcs présentés : 18929
Vendus au classement de 2,030 € à 2,034 €
Moyenne mobile (12 mois) : 2,024 €
Nombre coches vendues : 64
Fourchette de : 1,671 € à 1,673 €
Moyenne : 1,672 € (-0,001 € )

2,031 euros (cours égal) … Le cours du porc demeure inchangé à 2,031 euros pour la quatrième semaine consécutive et ce, à la veille de la semaine du 1er mai qui ouvre une série de 4 fériés durant ce mois de mai. La présentation des lots de porcs au MPB était adaptée à la réduction d’activité de la semaine prochaine, cela n’a pas empêché un nombre important de porcs sans enchères qui représentent 11% du total présenté. L’activité de cette semaine sur la zone Uniporc sera stable aux environs de 359 000 porcs abattus, les poids devraient baisser de l’ordre de 200 g. Sur les autres places européennes, la stabilité des cours du porc reste la règle pour la grande majorité des pays avec cependant une pression à la baisse de plus en plus forte de la part de certains abattoirs face à un commerce qui attend toujours de meilleures conditions météo pour dynamiser les ventes sur les marchés intérieurs tandis qu’au grand export, la demande reste globalement assez faible.

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25 Avril 2024

2,031 euros (cours égal) … Le cours du porc demeure inchangé à 2,031 euros pour la quatrième semaine consécutive et ce, à la veille de la semaine du 1er mai qui ouvre une série de 4 fériés durant ce mois de mai. La présentation des lots de porcs au MPB était adaptée à la réduction d’activité de la semaine prochaine, cela n’a pas empêché un nombre important de porcs sans enchères qui représentent 11% du total présenté. L’activité de cette semaine sur la zone Uniporc sera stable aux environs de 359 000 porcs abattus, les poids devraient baisser de l’ordre de 200 g. Sur les autres places européennes, la stabilité des cours du porc reste la règle pour la grande majorité des pays avec cependant une pression à la baisse de plus en plus forte de la part de certains abattoirs face à un commerce qui attend toujours de meilleures conditions météo pour dynamiser les ventes sur les marchés intérieurs tandis qu’au grand export, la demande reste globalement assez faible.